177ème devoir du Goût

Les lundis du Goût

Je sais bien que j’ai déjà, à moins que ce ne soit Lakevio soi-même, proposé ce sujet à votre imagination.
Mais cette toile de Marc Chalmé m’amène toujours à des supputations.
J’espère qu’il en ira de même pour vous et que vous donnerez libre cours à vote idée, fussent elles farfelues.

Très peu de temps à consacrer au blog ces jours derniers. Mais je n'allais pas laisser tomber mon cher Profémérite comme ça ! Aussi je m'astreins à une petite participation. Ah faut pas trop chercher du beau texte dans cette chanson mais au moins elle égaie mon dimanche soir et me rappelle deux trois souvenirs de jeunesse !

Gilles Dreu a interprété d'autres titres dont celui-ci.

Comments

[Marcomuch]

Chansons souvenirs du siècle dernier, lorsque j'étais jeune et beau, mes amies avaient de très jolies jambes séduisantes tant attirantes et des sourires (presque) virginaux,

elles étaient belles comme l'aurore au printemps, et moi j'étais pas mal aussi ...

Fais du feu dans la cheminée ....

"Vous chantiez ? et bien dansez maintenant !"

ben non je chante toujours , n'en déplaise à la fourmi ma voisine qui n'est pas prêteuse d'après Jean de la Fontaine de ma lointaine école primaire !

[Alainx]

Mais que voilà une manière sympathique et originale de participer à la consigne.

En plus les illustrations du clip vidéo sont sympathiques et plus si affinités… !

Et puis comme tu dis ça rappelles des souvenirs…

[Jerry OX]

Bonjour Praline, "Je reviens chez nous" de Gilles Dreu, un classique que je chantais lorsque j'étais scout ! Bon mardi à toi !

[Yvanne]

Coucou Praline ! Moi aussi j'aimais bien les chansons de Gilles Dreu. Elles évoquent ma jeunesse comme celles d'Alain Barrière, Nicolas Peyrac, Serge Prisset, C. Jérôme et bien d'autres. Je les écoute toujours avec plaisir. Bonne journée à toi. Sous la pluie ici. On ne profite pas des belles couleurs de l'automne.

[celadon7]

Tout en descendant les marches blanches de l'innocence la jeune femme en fleurs ne supputait pas manquant de putois dans son entourage boisé le déroulement de sa jambe entière était un régal pour la menuiserie de bois ciré à la rampe glissante de son enfance Une fois en bas il fallait se tenir à carreau , le maître du lieu y tenait question de principe dans la maisonnée .A heure dite lui portait son encas catoès au plumage bariolé tant mieux il était peintre et dans ce cas les couleurs ne lui faisaient pas peur. Arrivant au salon pas de Provence prenant peur de tous .Ces gens de la haute société là pour elle et les autres de son rang se demandant à quelle sauce seraient consommées Tant de belles toilettes , de canotiers d'apprentis canoteurs tous endimanchés , la moustache fine et cheveux courts Il fallait choisir un cavalier ou un chevalier servant pour la vie les espèces sonnantes et trébuchantes de sa dot attiraient le beau (ou pas) monde une fois la thune empochée au revoir ma mie débrouilles toi avec les enfants ,je pars illico à Paris pour affaires .Le chat de la maisonnée voulu sortir miaou miaou elle en profita pour sortir l'animal ,elle aussi faisant le tour du manoir entra par la porte de service et monta d'autres escaliers aux marches heureuses d'être foulées par des jambes graciles .réfugiée en son espace privé pit ses pinceaux et brosses , couleurs et pigment et se mit à l'oeuvre.