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Pralinensavoie...                 et parfois ailleurs
2 octobre 2023

173ème devoir du Goût

Les lundis du Goût

LE GOUT DES AUTRES

Ça fait quatre ans que je vous propose à peu près chaque semaine un « Devoir de Lakevio du Goût ».
Si vous n’en avez pas marre, voici le 173ème devoir.
Cette toile d’Émile Friant arrive un certain nombre de  devoirs et plus de deux cents semaines après le premier devoir que je vous ai proposé.
En attendant lundi, je suis sûr que vous allez vous précipiter sur vos claviers, rêvant des rentrées qui étaient d’antan et du mois d’octobre pour dire à quoi vous fait penser cette peinture dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’est pas enthousiasmante…
Mais bon, vous vous direz, comme le héros de « 2001, a space Odyssey » d’Arthur C. Clarke « Bah… J’aurai bien une idée… »
À lundi.

Mais non mon cher Profémérite, je n’en ai pas marre de tes devoirs, même si ma participation n’est pas toujours régulière. Au contraire, je te remercie de me permettre d’écrire et je te dis un grand bravo pour ta constance ! Quatre ans, tu m'étonnes que j'ai des cheveux blancs... Je dois cependant souligner que bien souvent les tableaux proposés ne reflètent pas une joie extrême ! N’invitent ni à la rigolade ni à la gaieté !

Par exemple, ce tableau-là, pfffiouuu, qu’y vois-je ?

 

Je devine que Louis et sa sœur Claudine sont tristes en ce soir de début d’automne. Il a un air suppliant. Elle a un regard fuyant. Il est assis mais on dirait qu’il est à genoux devant elle. Elle est debout, on pourrait dire dominatrice mais non, on sent une certaine tristesse derrière ce regard détourné.

C’est décidé, Claudine rejoindra la communauté des Carmélites dans une quinzaine de jours. Louis la supplie de réfléchir encore. Elle ne peut, dit-il, le laisser seul avec leur Maman vieillissante. Il savait que sa petite sœur se préparait depuis des mois à cet avenir monastique mais refusait de l’admettre. Il vient enfin de comprendre qu’il ne la reverra pas avant longtemps.

Je pense au déchirement pour cette Maman, sûrement partagée entre bonheur de voir sa fille réaliser ce qu’elle désire et douleur de renoncer à sa présence aimante. Ce serait donc vrai qu’on ne fait pas des enfants pour soi !?

 

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Commentaires
J
Bonjour Praline, Louis et sa sœur Claudine contemplent l'automne naissant avec une certaine désolation...
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J
Bonjour Praline, Louis et sa sœur Claudine contemplent l'automne naissant avec admiration et désolation devant le spectacle triste de l'été qui se termine...
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C
Commentaire non enregistré , trop long pour le refaire à l'identique
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C
j'ai beau regarder ces deux êtres , rien ne sort de ma caboche , ils m'ennuient à se regarder comme deux chiens battus après une chasse à courre qui aurait mal tournée. Le gibier convoité ricanait dans les fourrés profonds , il n'avait jamais vu deux bipèdes détalant au moindre coup de fusil Dans la famille cervidé il y avait fiesta ce soir herbes fraîches à gogo. X cors le vieux chaque arbres , fourrés , buissons , marais étaient connus , son odeur inquiétait les concurrents de la harde ,les plus hargneux avaient goûtés les bois dans leur chair avec le temps il y aurait duels pour le remplacer Un autre souvenir en Sologne avec une chasse à courre seul devant le cavalier monté au lieu de fuir chargea l'homme à la bombe en tomba de sa monture X cors disparu C'est pour cela que les deux font la tronche , ils n'auront pas de trophée à accrocher au salon avec la pétoire et la photo des chiens sa dame n'aura pas le vêtement en cuir de cerf , Taïaut Taïaut Taïaut , ferme ta bouche répondit l'écho.
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R
Un petit coucou<br /> <br /> Octobre file ...<br /> <br /> Bonne journée
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