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Pralinensavoie...                 et parfois ailleurs
30 décembre 2016

2016 s'achève, vive 2017 !

Un Noël de plus, un Noël de moins. Ne songez surtout pas optimisme ou pessimisme, nulle comparaison avec le verre à moitié plein ou le verre à moitié vide. C’est la simple réalité, nous avons vécu un Noël de plus dans notre vie et avons un Noël de moins à vivre dans notre vie…comment ça, elle nous sort une lapalissade la Praline ? Que nenni, c’est juste pour dire au revoir hier, bonjour demain ! Aurais-je vécu un mauvais Noël, non pas du tout, veillée et lendemain furent festifs, bruyants, fraternels, chaleureux. Je me sens un peu lasse de tout ce remue-ménage mais ravie et tranquille dans ma tête. J’ai reçu les cadeaux les plus précieux qui soient : des compliments, des sourires, des bisous. Le plus onéreux des cadeaux, enrubanné argenté-doré serait fade sans la présence affectueuse de ma tribu, sans mains à caresser, sans joues à bisous, sans mots d’amour pénétrant jusqu’au fond de mon cœur. Nous voici donc dans les derniers jours de 2016. Je n’ai pas pour habitude de dresser le bilan d’une année qui s’achève. J’ai appris à ne plus trop regarder en arrière, à ne pas ressasser le passé sauf pour y piocher les éléments positifs qui me porteront demain. S’il m’arrive de me retourner ce n’est pas forcément en janvier, je peux le faire, par nécessité, à n’importe quel moment de l’année. Je ne me plains pas de ma vie, je ne suis pas envieuse de qui ou quoi que ce soit, oh je ne suis pas toujours sereine, pas toujours en forme mais cela ne donne pas matière à gémir et je veille à ne pas transformer mes manques en besoins. Les manques… bien sûr que j’en ai, je pense surtout à mon mari et à ma maman, ils ont tant marqué ma vie, on s’est tant aimés, comment ne me manqueraient-ils pas ? Passé l’infernal temps du deuil, quand lentement je suis remontée du trou profond dans lequel j’étais tombée, j’ai retrouvé la saveur de revivre. Maintenant ils sont là, au chaud dans mon cœur et m’aident, maman avait un optimisme sans faille et mon mari aimait me voir sourire et rire. Je suis heureuse. Car je le veux et m’y applique. Comme pour tout un chacun, le temps passe… ou plutôt c’est nous qui passons ! Hier ne se revivra pas. L’instant présent non plus. Quand on réalise pleinement cela, on a la clé du bonheur ! Je trouve chaque jour un petit truc qui me rend heureuse, qui me fait me sentir en vie, qui me fait aimer la vie, qui me fait dire que s’il était à refaire je referais ce chemin. Je n’ai pas grande exigence de la vie, ah si, une seule : qu’elle continue à me gâter comme en ce moment. C’est déjà beaucoup. A vous toutes et tous, amis blogueurs, à vos êtres chers aussi, je souhaite une très belle année 2017, qu’elle vous garde en santé morale et physique.

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Le soleil est toujours là, derrière les nuages.

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Commentaires
R
bonjour chere Praline, je suis heureux de voir que tu saisis la vie avec optimisme, des hauts , des bas, je connais ! mais tu continues courageusement, avec quelques années de difference, nous avons un peu le meme caractère, nous sommes des sages ! j'espère que tu as passé un bon Noel, ce fut mon cas en famille, et gros cadeau, les enfants m'ont fait la surprise, de m'emmener avec eux, voir leur fils, mon petits fils qui travaille vers Hong Kong, une semaine formidable, depaysement total...un peu fatigant , mais je recupère vite, j'espère que tu auras une merveilleuse année 2017, , du bonheur, et de la santé, la Paix c'est une autre histoire, grosses bises chere Aline...
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M
Merci Praline pour ta sagesse ! je te souhaite une belle année ... et plein de petits bonheurs.
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C
Je te souhaite des tas de petits instants de bonheur qui, mis bout à bout, font sourire à la vie. Belle annee à toi Praline :)
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M
A mon tour je te souhaite une belle et douce année 2017 pour toi et ta famille ! Et merci pour ce beau texte !
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E
Quand nous passions quelques jours chez mes parents, avec mon mari et mes enfants, ma mère pleurait de nous voir partir. On lui manquait, la maison devenait tout à coup vide, même si mon père était là. Il n'y avait plus les bavardages, les rires et fous rires de nous quatre. Et maintenant, c'est la maison de mes parents qui est vide depuis 2011. J'ai eu le temps de faire le deuil depuis 5 ans mais c'est un déchirement depuis cette date quand on entre dans la maison où ils ne sont plus. On se console avec des photos et des souvenirs dans la tête, et en se disant que nous ne sommes pas immortels. Il faut alors aller de l'avant, la route de la vie est devant. Bon début d'année Praline. Bisous.
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